Notre patrimoine en or perdu

Pourquoi une collection Les Épreuves belges ?

L’histoire, et plus particulièrement l’histoire financière d’un pays, raconte comment les finances de ce dernier ont un impact direct sur les pièces qu’il fait frapper pourses transactions de paiement.  

C’est également le livre de comptes de l’État qui détermine si certaines pièces seront finalement frappées ou non, et combien de temps ells resteront en circulation. Ainsi, dans la riche histoire numismatique de notre pays, il existe des pièces qui n’ont jamais été émises. 

Cependant, leurs conceptions sont bel et bien passées par de nombreuses étapes, si pas toutes, de la première ébauche jusqu’aux épreuves.
 

Mais qu’est-ce qu’une épreuve ?

En numismatique, ce terme désigne la toute première frappe d’une pièce lorsque les coins sont prêts

pour la production. Une première frappe est alors effectuée pour examiner la pièce de monnaie avecprécision. En effet, la pièce ne peut être correctement évaluée qu’au moyen d’un exemplaire réellement frappé ; cette méthode permet de voir précisément, entre autres, si le portrait monétaire est parfaitement mis en valeur, si le lettrage est bien à sa place, s’il n’y a aucune erreur dans les armoiries, si la pièce est parfaitement ronde, ou encore si tous les détails y ont été reproduits de manière correcte et satisfaisante. 

Bien souvent, les épreuves sont ensuite tout simplement détruites.

Si elles sont composées d’or ou d’argent, elles sont aussi parfois refondues. Si ces épreuves étaient estimées parfaitement correctes, il arrivait (et il arrive encore) qu’elles soient mélangées aux autres pieces lors de la première grande phase de production. Dans un tel cas, il n’est plus possible de distinguer les épreuves des pièces officielles. Bref, les épreuves ont plutôt tendance à disparaître. Mais heureusement, certaines d’entre elles continuent d’exister, et c’est là que cela deviant intéressant pour les collectionneurs. En effet, certaines épreuves d’une pièce de monnaie se sont déjà vendues à des prix exceptionnellement élevés dans le cadre de ventes aux enchères.

Et d’autant plus s’il s’agissait d’épreuves de pièces qui, pour une raison ou une autre, n’étaient jamais parvenus jusqu’à la phase de production. Dans le monde de la numismatique, ces épreuves sont jugées très spéciales, et sont donc extrêmement convoitées. La Maison de la Monnaie Belge estime que ces épreuves appartiennent à notre patrimoine national belge, notre héritage collectif en tant que nation .


La valorisation du patrimoine monétaire belge

La Maison de la Monnaie Belge s’est engagée à dévoiler cette partie cachée de notre patrimoine national. Nous nous félicitons que la Monnaie Royale de Belgique nous a permis d’utiliser des coins originaux issus de son cabinet pour faire refrapper des épreuves de certaines pièces en franc belge, jamais émises au cours de la période de circulation de notre ancienne monnaie (1832-2001) ! 

De plus, ces refrappes bénéficient de la même teneur en or élevée que les pièces d’origine, à savoir 900/1000, soit 21,63 carats. Enfin, ces épreuves jouissent de la plus haute qualité que les presses monétaires actuelles soient capables de produire : la qualité Belle Épreuve !


Et encore pour ceci


La série « Notre Héritage en Or perdu » vous dévoile une partie extrêmement importante de notre patrimoine numismatique belge. Et l’avantage inattendu de cette dernière est qu’elle vous permet d’acquérir ces refrappes à un prix tout à fait raisonnable. Réservez la rare épreuve en or des 10 Francs Albert Ier 1912 pour 249€ seulement. Livraison à partir d'octobre.